My history

Je voudrais savoir si cela vous intéresse si je vous fait découvrir une histoire que j'ai inventé?
Bon, si oui il faudra attendre un petit moment que j'arrive à l'écrire sur l'ordinateur,
et si non, ................................. ben vous ètes méchant ^^, non je rigole.

Oui, t'as deviné, on est méchant! chaise

Je plaisante bien sûr, et je pense que tout le monde sera d'accord avec moi si je dis qu'on serait ravi de lire ton histoire (moi le premier, surtout que je n'ai aucune imagination, et je serais incapable d'en écrire une! Je suis un scientifique, pas un littéraire, ça doit être pour ça...)

Lance-toi dès que tu seras prêt!

oui je suis d'accord!!

Moi aussi je suis d'accord ! Very Happy

J'aime bien lire les histoires des autres. Et oui, moi aussi comme Roy je suis incapable d'en ecrire une. Crying or Very sad

Pourtant moi aussi je suis un scientifique. Mais moi c'est depuis moi histoire qu'ul y a sur mon blog que j'ai commencé à écrire.
En fait ce n'ai aussi dur que ça, il suffit d'avoir une idée d'avoir un peu de temps chaque jour et le plus important je dirais, d'avoir de la volonté.
Seul petit problème quand on écrit une histoire c'est pour le titre ^^ je n'en ai toujours pas trouvé.

L'atmosphère de la nuit était étouffante, partout dans la ville, dans les rues gisaient des corps morts ou agonisants de leurs blessures. Un homme marchait au milieu de cette rue macabre, regardant toutes ces personnes mais il ne fit rien pour les aider, voire les sauver d’une mort atroce. Il continuait à avancer doucement comme s’il voulait voir toutes ces personnes mourir. Plus il avançait et plus la rue était souillée par le sang, il continuait sans même se retourner, puis il ne pouvait plus bouger, cet homme essaya d’avancer car il ne voulait plus assister à cette horrible scène, il força, força encore et de toutes ses forces mais en vain, une force beaucoup plus grande le cloua sur place comme si elle voulait qu’il voit quelque chose d’affreux.
Après être resté sur place il vit au loin une très grande silhouette qui se dirigeait vers lui, il voulait s’en aller mais il était toujours cloué sur place, alors pour se défaire de ces liens, il força de plus en plus dès qu’il vit la silhouette se rapprocher de lui. Au bout d’un moment il put enfin courir pour lui échapper, il courut jusqu’au moment où il aperçut une vague noire arriver droit sur lui. Celle-ci allait beaucoup plus vite que lui et le rattrapait de plus en plus. Il essaya d’aller encore plus vite, en vain, alors il tourna dans une rue adjacente et continua tout droit. Quand il se retourna vers la vague noire, il vit qu’il venait d’aggraver son cas car cette chose ne cherchait pas à aller à droite ou à gauche mais elle continuait toujours tout droit sur lui. Le garçon qui courrait décida de monter sur le toit d’une maison pour voir s’il pouvait échapper à cette chose horrible. Il ouvrit la porte, monta toutes les marches le plus vite possible, et arriva sur le toit. Il fixa la vague jusqu’au dernier moment, celle-ci arrivait, elle était de plus en plus proche, devint gigantesque, se trouva au-dessus du jeune homme et le traversa. Celui-ci fut projeté au sol, il se releva, s’essuya et regarda ce qui s’était passé, à gauche, à droite, rien, il ne vit rien de spécial comme si rien de tout cela ne s’était produit. Peu de temps après il voulut partir de la maison mais ne put pas car il était piégé dans un sable mouvant noir alors il se débattit de toutes ses forces, arriva à sortir d’un centimètre mais fut aussitôt attiré par celui-ci. Après avoir utilisé toutes ses forces à cause de la course et de tout le reste, il se fit aspirer par le sable.
- Non, non, noooooooon !!! Pas ça !!! cria-t-il.
- Qu’est-ce qu’il y a chéri ? demanda une femme.
Le garçon se réveilla et vit qu’il était en train de se battre contre son drap et sa couverture. Allongé au milieu de son lit, le garçon âgé de seize ans, avait des cheveux ébouriffés, bruns et courts, ses yeux étaient verts. Il commença par sortir de son lit, s’assit sur le bord de celui-ci. Sa mère rentra dans la chambre et alluma la lumière alors le jeune homme cligna des yeux pour s’habituer à celle-ci. Il se leva, se dirigea vers la porte de sa chambre tourna à droite et traversa le couloir. Pendant qu’il marcha dans le couloir il repensa au rêve qu’il venait d’avoir, il se demanda s’il celui-ci était prémonitoire ou si c’était tout simplement un horrible cauchemar. Ce n’était pas la première fois qu’il faisait ce genre de rêve, à chaque fois il voyait toujours la même silhouette, il n’arrivait jamais à voir son visage, il se demandait qui pouvait bien être cette personne et il voyait aussi plein de corps mais cette fois il n’étaient pas dépecés comme dans les autres rêves. Après avoir pensé à cela il était arrivé dans le salon où se trouvait sa mère qui l’attendait pour le petit déjeuner. Sa mère souriait en le voyant, elle avait les cheveux qui descendaient jusqu’aux hanches, ils étaient bruns et lisses et ils brillaient à la lumière, et elle avait les même yeux que son fils. Elle portait une longue robe bleue qui arrivait à ses talons. Le jeune homme s’installa dans une chaise et la femme lui servit son petit déjeuner. Il commença à manger ses œufs sur le plat tranquillement quand tout à coup sa mère lui dit :
- Mon chéri, il faut que tu te dépêches d’aller en cours tu as vu l’heure ?
- Non, il est quelle heure ?
Il tourna la tête pour regarder l’horloge qui se trouvait au fond de la pièce et vit que les aiguilles de celle-ci indiquaient huit heure moins le quart.
- Quoi !!! cria-t-il. Il me reste plus qu’un quart d’heure pour me préparer. Tu aurais pu me prévenir avant comme même Maman.
- Je venait juste de regarder l’horloge quand je te l’ai dit, répondit-il.
- Ouais, ouais excuse bidon, dit-il.
Il courut à travers toute la maison pour réunir toutes ses affaires le plus rapidement possible, il traversa le couloir alla dans sa chambre prit son sac et mit dedans toutes ses affaires de cours et sortit de l’armoire les habits qu’il allait porter aujourd’hui. Il enfila un tee-shirt noir avec une déchirure blanche qui partait de son épaule droite et finissait à son nombril, par dessus il mit un polo blanc avec un tigre noir au milieu de celui-ci. Son jeans était bleu, délavé et un peu déchiré car celui-ci était assez vieux, il enfila ses chaussettes noires et sortit de la chambre avec son sac. Il croisa sa mère dans le couloir, il eut à peine le temps de dire « Au revoir. » qu’elle entendit la porte claquer.
Dans la rue, en courant il croisa beaucoup de personnes qui partaient faire leurs courses, allaient au travail ou encore ceux qui faisaient leur jogging matinal. Il courut le plus vite possible pour ne pas être en retard. Son professeur était très strict sur les règles du bâtiment et celui-ci rôdait toujours à l'entrée du bâtiment pour donner une bonne leçon à toutes les personnes qui seraient en retard. Le jeune homme pensa au deux possibilités, celle où le professeur l’engueule tellement fort que tout les lycéens regardèrent ce qui se passe dehors ou celle où son professeur le laisse retourner en cours sans rien dire, mais cette dernière était très rare, elle était de une chance sur mille.
Il arriva devant le lycée, il était désert, seul les feuilles mortes qui gisaient sur le sol, bougeaient à cause du vent qui les faisait décoller. Le jeune regarda tout autour de lui, il vit qu’il n’y avait aucune lumières allumées dans aucun des six bâtiments du lycée, un silence qui donnait la chair de poule régnait sur la cour. Il avait de plus en plus peur, il se demandait ce qui avait pu arriver pour qu’une telle chose se produise. Ses jambes commençaient à trembler de plus en plus fort ensuite c’était au tour de ses bras et pour finir un bruit se faisait entendre à travers la nuit : c’était ses dents, il se demandait s’il tremblait à cause du froid ou à cause du vide qu’il y avait dans le lycée. Il ne voyait aucun signe de vie comme si un raz de marée avait détruit toutes vies humaines en laissant les bâtiments intacts.
Il chercha un signe de vie, il avait un espoir de trouver une âme encore en vie mais abandonna tout de suite après avoir traversé le bâtiment C, longeait le bâtiment B, jeta un œil dans les préfabriqués, descendit au bâtiment G, remonta à côté du bâtiment F, monta les premier escalier, regarda à droite dans le bâtiment D et tourna la tête à gauche pour voir dans le bâtiment E. Après avoir fait le tour du lycée, il sortit de celui-ci en montant les dernières marches de l’escalier, puis commença à repartir quand une fille au loin courait vers lui, le jeune homme vit les cheveux de celle-ci qui se balançaient à cause de la course, ils lui arrivaient au niveau de ses omoplates, ils étaient châtains, plus elle se rapprochait plus il voyait sur ce visage de magnifique yeux verts foncés. Elle portait un manteau blanc qui bougeait presque de la même façon que ses cheveux, grâce aux mouvements du manteau il pouvait voir qu’elle portait un pantalon bleu qui ressemblait à un jeans et aussi qu’elle avait un polo noir. Le jeune remarqua aussi qu’elle avait enfilé des gants noirs. Il souriait car il avait reconnut la jeune fille qui se dirigeait vers lui, arrivée à ses côtés elle entama la conversation.
- Salut Shald, comment vas-tu aujourd’hui ?
- Ça va et toi comment vas-tu Talgya ?
- Très bien merci, répondit-elle.
- Tu sais pourquoi il n’y a personne au lycée aujourd’hui ? demanda-t-il.
- Quoi ?! Tu n’es pas au courant ?
- Au courant de quoi ?
- Tu n’as pas regardé les informations aujourd’hui ?
- Non, il s’est passé quelque chose de grave ?
- Non, enfin je ne pense pas. Allons chez toi pour en parler, dit-elle.
À ce moment là Shald sentit un léger craquement au niveau de son bras, il regarda se qui se passait et vit que Talgya était en train de tirer sur son bras, elle utilisa presque toute sa force pour faire avancer Shald. Lui ressentait la douleur et les craquements se propager dans tout son corps, elle continuait toujours a tiré mais le torse de Shald commençait dangereusement à pencher vers l’avant. Talgya ne voyait pas qu’elle l’avait un peu trop tiré alors celle-ci continua de plus belle. Les jambes de Shald commencèrent à avancer par réflexe pour éviter la chute, puis après être lancé, il courut derrière Talgya qui venait de lui lâcher le bras car il avançait tout seul. En même temps qu’ils couraient, ils évitèrent les passants qu’ils croisaient dans la rue. Quand ils leur restaient plus que 500 mètres à faire Shald remarqua que Talgya avançait de plus en plus vite, il essaya de faire la même chose, en vain, elle l’avait presque semé quand elle s’arrêta devant la porte de la maison de Shald.
Celui-ci arriva essouffler devant sa porte, l’ouvrit et se précipita d’aller sur le canapé puis s’écroula dessus. Sa respiration était saccadée comme une personne qui agoniserait seul, mais Talgya respirait normalement comme si la course qu’ils venaient de faire n’ait pas eu lieu. Elle se dirigea vers Shald qui reprenait ses esprit peu à peu, elle continua sa route, contourna le canapé et marcha en direction de la télévision. Elle appuya sur le bouton pour allumer celle-ci, prit la télécommande qui se trouvait sur la table et changea de chaîne jusqu’à trouva en trouver une où il diffusait un flash info.

Pour faire des commentaires sur mon histoire c'est ici qu'il faut les mettre.

Coucou Kiba, j'ai pas encore lu ton histoire, mais promis je le fais ce weekend. ça te dérange pas de regrouper en un seul sujet tout ce qui est en rapport avec ton histoire Question

non cela ne me dérange pas.

J'ai lu ton histoire, je l'ai bien aimé, et maintenant je voudrais bien voir la suite! C'est comme les séries à la télé, l'épisode s'arrête toujours à un moment important et on est frustré de pas savoir tout de suite ce qui va arrivé!

Et ouais qu'est-ce que tu crois.
La suite je vais voir si je l'ai écrit.

moi la flemme de lire mais j aime bien le debut lol moi j aime bien

oups

mwa sa fé 1 sméne k jlé lu jcroyé avoir laché 1 com mé en fét non g du partir précipitamen jn c plu!!!
en tt ka c 1 intrigue +to pa mal jm langui davoir la suite savoir skil s passe!!!
continu kom sa!!!
bisoux

Attention voici la suite que beaucoup de monde attendait ^^

- Macabre découverte au nord de La Rochelle, un tueur a assassiné une cinquantaine de personnes hier après-midi. On ne sait pas comment il s’y est pris pour faire ça car sur les victimes comme vous pouvez le constatez il n’y a aucune blessures visibles sur leur corps qui sont maintenant inertes. Pour plus de prudence personne ne devrait sortir dehors même si vous n’habitez pas à côté de La Rochelle car tout le monde cour un grave danger de mort si vous le croisez, alors prenez garde, surtout toi Shald.
Aujourd’hui un chien vient de sauver……, dit la journaliste.
- Hein ?! J’ai rêvé ou elle a parlait de moi ?
- Non, elle n’a rien dit sur toi, les derniers mots qu’elle a dit c’est « un grave danger de mort si vous le croisez, alors prenez garde. » c’est tout.
- Ah bon, pourtant je l’ai entendu dire à la fin « surtout toi Shald.
- Là tu te fais des idées mon pauvre. C’est peut-être parce que tu as vu beaucoup de morts alors cela t’a provoqué un choc psychosomatique qui a engendré une illusion auditive, expliqua Talgya.
- J’avais oublié que tu faisais des raisonnements qui donnent mal au crâne, dit-il.
- Désolé, je n’ai pas pu m’en empêcher.
- C’est vrai que ça explique l’absence de tous les élèves dans le lycée, mais je me demande comment quelqu’un peut arriver à tuer quelqu’un sans causer de dommage au corps.
- C’est vrai que c’est assez louche comme meurtre.- Ce n’est pas ça qui va m’empêcher de sortir.
- Ouais, de toute façon il faut que je rentre chez moi, dit-elle en souriant.
- À moins que tu veuilles que je t’invite à dormir chez moi, lui dit Shald en rigolant.
Elle était en train de se dirigeait vers la porte quand tout à coup elle se retourna brusquement au même moment que Shald avait fini sa phrase. Elle ne lâchait pas des yeux, elle était très intéressée par la proposition qu’il venait de dire car elle n’avait pas trop envie de sortir dehors avec un tueur dans les parages. Shald venait de comprendre que c’était sa phrase qui avait déclenché la réaction de Talgya. Il était dégoûté de lui avoir proposé ça. Elle continuait à le regarder comme si elle attendait le bon moment pour lui sauter dessus, le jeune homme se sentait de plus en plus frustré. Il n’en pouvait plus, sur son front plusieurs petites gouttelettes apparaissaient au fur et à mesure que le temps s’écoulait. Il réussit à tenir encore plusieurs minutes sans rien dire, sans rien faire. Dans la pièce, seul les mouches faisaient un vacarme, on aurait dit que plus rien devait perturber ce silence. Talgya quant à elle, essayait de tenir encore un certain temps mais elle fatigua. Shald céda il commença à ouvrir la bouche comme s’il allait dire quelque chose quand tout à coup la porte s’ouvrit pour laisser apparaître la mère de celui-ci. Il pouvait enfin respirait normalement, tellement qu’il était content il voulut sauter au cou de sa mère pour la remercier, mais il évita de le faire. Quant à Talgya, elle était un peu déçue mais elle avait plusieurs idées en tête pour pouvoir dormir chez lui. Elle s’apprêtait à en commencer une quand elle fut interrompue par la mère de Shald.
- Mais qu’est-ce que tu fais là tu n’es pas en cours, s’exclama sa mère.
- Ben, quand je suis arrivé au lycée il n’y avait personne, alors je me suis rentré aussitôt à la maison avec Talgya que j’ai croisé sur le chemin du retour.
- Bonjour Talgya, dit-elle calmement. J’espère que tu dis vrai sinon tu vas t’en prendre une que tu n’oublieras pas de sitôt, s’exclama-t-elle en haussant de plus en plus la voix.
- T’in... t’inquiète pas, c’est… c’est la vérité. Il en parle même aux informations, dit-il en bégayant.
Shald se précipita sur la télévision, appuya sur le bouton pour l’allumer et chercha le plus vite possible une chaîne où ils parlaient des meurtres.
- Encore une macabre découverte cette fois à côté de Bordeaux où je me trouve actuellement, la scène de crime est similaire à celle de La Rochelle où les victimes n’ont pas de traces visibles sur leur corps. Comment fait-il pour tuer ses victimes ? Comment fait-il pour parcourir autant de kilomètre en peu de temps ? Voici deux questions auxquelles nous n’avons aucune réponse valable. Ma collègue vous la déjà dit tout à l’heure et moi je vous le répète, restez chez vous, surtout toi Shald.
Passons à la suite de notre journal ……, dit le journaliste.
- Purée ça m’énerve, s’exclama-t-il.
- Qu’est-ce qu’il y a ? demanda sa mère.- Ben, c’est la deuxième fois que je crois entendre le journaliste me parler à la fin.
- Quoi ! Encore ! s’exclama Talgya.
- Non… c’est pas… c’est pas possible… pas maintenant… pas encore… il est trop jeune…, marmonna sa mère.
- Qu’est-ce qu’il y a ? demanda-t-il étonné.
- Rien, il n’est plus question que vous sortiez seul vous deux,
surtout toi Shald.
- Quoi ?! Pourquoi surtout moi ? Il y a un truc qui ne va pas avec moi ? demanda-t-il en élevant la voix.
- Non, c’est que je n’ai pas envie de te perdre, répondit sa mère.
- Je suis sûr qu’il y a autre chose, pensa-t-il.
- C’est bien joli mais moi je fais comment ? demanda Talgya.
- Je vais appeler tes parents pour leur dire que tu vas rester quelque temps ici, répondit la mère de Shald.
- Mer… Merci beaucoup parce que j’avoue que j’avais un petit peu peur de retourner chez moi avec ce tueur dans les parages.
- De rien, Shald va faire le lit de Talgya s’il te plaît, demanda sa mère.
- Ouais, j’y vais, dit-il.
Shald n’était pas trop content de savoir que Talgya allait rester quelque temps dans sa maison avec lui, de plus il n’était pas content de savoir qu’il ne pourrait même pas sortir dehors le jour où il y avait personne au lycée. Il se dirigea lentement vers sa chambre, celle-ci se trouvait au bout du couloir à gauche. Arrivé devant celle-ci il ouvrit la porte et rentra dans la pièce. À l’intérieur de celle-ci, il vit son bureau qui était un peu désordonné où il y avait ses bouquins de cours, à côté de celui-ci se trouvait le lit avec une table de chevet à droite, celui-ci était bien fait. Il se retourna pour prendre le matelas qui se trouvait derrière l’armoire qui était à côté de la porte. Il prit le matelas et le mit près de son lit. Il ouvrit ensuite la porte de son armoire pour prendre un drap et une couette, et fit le lit correctement.
Une fois fini il se dirigea vers la salle à manger pour voir ce que pouvait bien faire sa mère et Talgya ensemble. Arrivé dans la pièce, il vit qu’elles étaient en train de regarder un genre de cahier vert plastifiée, quand sa mère tourna une page il vit qu’elle aussi était plastifiée et il distingua des images à l’intérieur. Il reconnut l’une d’entre elle, en fait ce n’était pas des images ordinaires il s’agissait de photo, alors il comprit que ce n’était pas un cahier mais un classeur ou plus précisément d’un album photo. Dedans il y avait toutes les photos sur Shald depuis sa naissance jusqu’à aujourd’hui en passant par toutes les bêtises qu’il avait devant l’appareil pour se rendre intéressant ou encore celle où il était complètement nu. À cet instant la sa mère commença à tourner une page en ajoutant.
- Celles-ci vont te plaire, car on voit Shald qui est tout nu, dit sa mère en souriant.
- C’est pas vrai, faites voir, s’il vous plaît ? supplia Talgya.

Quand ces paroles arrivèrent à l’oreille de Shald, ses jambes avancèrent presque toutes seules en allant le plus vite possible pour arrêter sa mère ou plus précisément la main de celle-ci qui tournait la page. Tant que la main montait, Shald était content mais au même moment il vit que la main de sa mère était en train de descendre, alors il sauta sur la table pour prendre l’album avant que les photos ne soit dévoilées. Sa mère et Talgya tournèrent la tête pour voir ce qui ce passait et elles virent Shald qui avait l’air de planer dans les airs, Talgya se leva et s’écarta de la table pour éviter de se le prendre en pleine tête, et sa mère fit les même mouvements que Talgya pour l’éviter aussi. Shald fixait l’album qui ne bougeait plus car sa mère avait enlevé sa main de la page qui continuait à tomber dans le mauvais sens ce qui dévoila petit à petit la page « interdite ». Il était encore plus décidé que jamais pour que Talgya ne puisse pas voir ses photos. À cet instant, il était au-dessus de l’album, soulagé d’être arrivé à temps, avant que la page ne soit complètement retournée quand tout à coup il vit une main apparaître juste en dessous de lui qui prit l’album et l’enleva. Shald atterrit violemment sur la table, glissa dessus et finit sa route dans le mur en face.
- Aïe, s’écria-t-il.
- Mais qu’est-ce qui te prend encore ? demanda sa mère.
- Tu m’as fait peur, idiot, s’exclama Talgya.
- Je ne voulais pas que tu lui montres mes photos, répondit-il à sa mère.
- Ah c’est pour ça, je ne l’ai aurais pas montré si tu me l’avais demandé, dit sa mère en souriant.
- Ah, ben…
- Alors tu es une forte tête à ce que je vois, dit Talgya en rigolant.
- Ah, ah, très drôle, tu ne foutrais pas de ma poire par hasard.
- Non je n’oserais pas, tu me connais.
- T’inquiète je t’aurais un jour, dit-il.
Après cette petite conversation, Shald vit sa mère sortir de la salle à manger pour aller dans la pièce qui n’était autre que la cuisine, à l’intérieur de la pièce sa mère était en train de sortir des ustensiles pour préparer le repas. De son côté Shald tourna la tête pour voir quelle heure il était et vit que les aiguilles indiquaient 12h15. Il commença à se dirigeait devant l’armoire qui se trouvait pas très loin de la table. Il prit les assiettes puis les posa sur la table, ensuite il prit tous les couverts et fit la même qu’aux assiettes et finit par mettre les verres. Il alla dans la cuisine pour aller chercher les serviettes et revint dans le salon pour finir de mettre le couvert. Talgya et lui s’installèrent dans une chaise et attendirent que la mère de Shald.
Après le déjeuner Shald se retira dans sa chambre pour être un peu tranquille, en arrivant dans sa chambre, il s’allongea sur son lit, regarda le plafond et ses yeux se fermaient petit à petit, et il plongea doucement dans un sommeil profond. Dans son rêve tout était rouge comme si aucune autre couleur n’avait existé auparavant. Il se trouvait tout seul dans une rue, pas de corps, aucun être humain était présent, il était le seul sur Terre. Au loin, il vit la silhouette noire de la dernière fois, mais celle-ci se rapprochait de plus en plus de lui. Shald resta immobile il voulait savoir qui était cette silhouette, alors il attendit qu’elle soit assez près de lui pour voir son visage. Après un certain temps il aperçu son visage et se réveilla en sursaut. Il était essoufflé comme si il avait courut le marathon, à ce moment là la porte s’ouvrit et laissa apparaître derrière elle Talgya. Elle se précipita sur Shald aussitôt qu’elle l’avait dans cet état.
- Qu’est-ce qu’il y a ? demanda-t-elle inquiète.
- Non rien, c’était juste un cauchemar, un horrible cauchemar, répondit-il entre deux respirations.
- Alors arrête de me faire peur comme ça, dit-elle rassurée.
Après ce cauchemar mouvementé, il s’agit sur le bord de son lit pour repenser à ce qu’il venait de voir et Talgya l’attendit à la porte pour rejoindre le salon. Celui-ci se releva doucement puis suivit son amie dans le couloir. Ils entendit un brouhaha de personnes qui discutent venant du salon, alors ils accélèrent un peu le pas pour voir qui discutait avec la mère de Shald. Quand nos deux amis arrivèrent ils virent la femme qui était en train de regarder la télévision, elle avait mit le son trop fort. Ils se regardèrent puis Shald demanda à sa mère :
- Maman, est-ce qu’on peut aller dehors s’il te plait ?
- Tu sais bien ce que j’ai dit tout à l’heure, répondit-t-elle.
- Oui, mais…
- Il n’y a pas de mais, vous ne bougerez pas d’ici.- Madame, on voudrait aller dehors car on s’ennuie ici, en plus vous pouvez nous accompagner, dit Talgya calmement.
- C’est vrai que je peux vous accompagner, alors c’est bon on va dehors, répondit-t-elle à Talgya.
Un sourire apparut sur leur visage, Shald et Talgya étaient plus que content d’aller dehors pour prendre l’air. La mère du jeune homme éteignit la télévision et prit son manteaux qui se trouvait sur le porte-manteaux près de la porte, ensuite ils sortirent dans la rue.
La rue était silence, beaucoup trop, Shald eu beau regarder partout autour de lui celui-ci ne vit pas la moindre personne au alentour alors que lorsqu’il avait été au lycée ce matin la rue était pleine. « Ils ont dû voir les informations ce matin. » pensa-t-il. Même les animaux ne se
montraient pas. Ils continuèrent à avancer, quelque marchants avaient ouvert leur boutique mais pas grand monde ne venait, alors lorsqu’ils virent Shald, sa mère et Talgya, ils souriaient mais lorsqu’ils les virent partir ils redevinrent triste. Nos trois compagnons continuèrent leur route pour monter en haut du donjon qui se trouvait dans la ville de Pons. Arrivés en haut ils admirèrent le magnifique ciel bleu qui était à perte de vue devant eux et ils virent juste à côté du donjon devant un restaurant bar des personnes qui étaient en train de boire un verre et qui rirent aux éclats pour un rien. Le petit groupe descendit pour aller boire un coup, pour se désaltérer .
Quand ils eurent finis, ils se dirigèrent vers le lycée pour voir s’il n’y avait toujours personnes, sur leur route les feuilles mortes virevoltaient grâce au vent. Shald sentit quelque chose qui montait petit à petit en lui, il ne savait pas pourquoi mais des frissons de plus en plus violent traversaient son corps de la tête au pied. Au fond de lui, il savait qu’il avait peur mais pour une raison encore inconnu ce sentiment s’aggravait à chaque pas qu’il faisait. Sa mère et Talgya le regardèrent et lui essayait de ne pas montrer qu’il avait peur ou qu’il avait un mauvais pressentiment. Sa mère se retourna pour regarder devant tandis que Talgya lui faisait un grand sourire, Shald essayait de lui rendre en ayant l’air le plus naturel possible ce qui n’était pas une mince à faire. Quand elle se retourna, il se mordit la lèvre inférieur tellement fort qu’il ne la sentit plus au bout de quelque minute. Il regarda Talgya qui avait l’air sereine, il était en train de l’admirer quand tout à coup une de ses jambes lâcha à cause du petit malaise qu’il venait d’avoir. Il se redressa, regarda devant mais il était seul, sa mère et Talgya avaient disparu. Pris de panique il courut tout droit pour voir si elle n’était pas au croisement mais quand il y arriva il ne vit personne, affolé il regarda autour de lui si vite que des petits craquements se faisaient entendre dans le silence. Essoufflé il s’assit pendant deux seconde lorsqu’il entendit un petit bruit, il se retourna et vit une personne mutilée de la tête au pied. Effrayé il recula un pas après l’autre jusqu’à ce qu’un obstacle l’empêche de reculer plus. Il se retourna et vit une autre personne aussi mutilée que la première. Celle-ci l’attrapa au cou et le plaqua contre le mur qui se trouvait à côté de lui et elle essaya de l’étrangler.

À suivre…

pa mal jsui rentré ds lintrigue jaten la suite ac impatience pr savoir ski va arivé a shald!!!
Sad

Je savais qu'en m'arrêtant là vous voudriez savoir la suite.

Oui, nous voulons la suite! (même si j'ai mis du temps avant de lire la dernière partie...)

Continue comme ça, nous on apprécie! yes!

Merci maintenant il faudrait que j'écrive la suite sur l'ordi pour pouvoir vous la faire lire au plus vite. ^^

Shald ne sentait plus une seule goutte d’air passait, il se débattit tant qu’il pouvait et commençait à ne plus sentir son corps qui ne lui obéissait plus. Il ne savait plus quoi faire, il n’arrivait même à réfléchir. Tous ses membres devenait lourd, même ses paupières qui se fermèrent de plus en plus jusqu’à ce que le jeune homme rendit son dernier souffle.
- Shald, oh Shald réveille toi ! dit Talgya
Les yeux du jeune garçon s’ouvrirent petit à petit à cause de la luminosité qui lui brûlait les yeux. Il se redressa et vit qu’il était allongé par terre, il ne s’était pas rendu compte qu’il s’était évanoui. Les deux femmes le regardaient inquiètes de ne pas savoir ce qui s’était passé pour qu’il se retrouve par terre. Il se frotta les yeux, puis regarda tout autour de lui, tout était comme avant il avait l’impression que s’était un cauchemar mais il sentait encore la main qui l’avait tenu et qui l’avait tué.
-Qu’est-ce qu’il t’arrive encore ? demanda Talgya impatiente.
-Rien, ça va je vais bien.
-Tu as intérêt à nous dire ce qui t’es arrivé sinon …., cria la mère de Shald.
-C’est bon, pas la peine de crier comme ça, ça me donne mal au crâne, dit-il calmement. J’ai eu un petit malaise.
-Un petit malaise ? Tu n’es vraiment qu’une petite nature, dit une voix non loin de lui.
-Tiens ! Salut Ghost tu vas bien on dirait, dit Talgya
-Toujours Talgya, par contre je ne peux pas en dire autant pour Shald.
-Ne t’inquiète pas pour moi, je m’en remettrai.
-Bonjour Ghost, tes parents vont bien ? demanda la mère de Shald.
-Oui, ils vont bien, je leur passerais le bonjour de votre part.
-Merci beaucoup.
Ghost était du même âge que Shald, et était un peu plus grand que lui. Les cheveux de ce garçon étaient courts, lisses et sombres, ses yeux étaient le plus sombre possible et il portait une cicatrice sur le visage qui partait du coin droit de son oeil droit et descendait jusqu’au milieu de sa joue droite. Il portait une veste noire avec un jean noir aussi, et pour combler le tout son tee-shirt était noir aussi.
Ghost tendit sa main pour relever Shald qui était toujours par terre. Il lui prit la main et se retrouva debout l’instant d’après et ils repartirent aussitôt en direction du lycée. Shald ne ressentait plus rien tout était calme, il avait le sourire. Quand ils arrivèrent devant le lycée, il n’y avait personne comme pendant la matinée.
-Toujours personne, il ont vu les informations à ce que je vois, dit Shald.
-Ils ont raison de ne pas sortir, répliqua Talgya
-Au fait tu es au courant pour le tueur ? demanda la mère de Shald.
-Oui, mes parents m’avaient dit de ne pas sortir mais j’ai réussi à les convaincre, répondit Ghost.
-Pourquoi on irait pas voir tes parents après ? Proposa la mère de Shald
-Désolé, ils sont partis à Cognac pour un rendez-vous je crois.
-Tant pis je passerais peut-être demain.
-Je leur dirai, dit le jeune homme aux cheveux sombres.
-Bon ben nous on va rentrer, hein maman ?
-Oui Shald, on va y aller.
-Alors je vous dis au revoir car j’y vais aussi, répondit Ghost.
-Bon, ben à la prochaine Ghost, dit Talgya.
-Ouais à plus.
Sur ces mots Ghost partit laissant derrière lui Shald, sa mère et Talgya. Tous les trois le regardèrent partir petit à petit, puis celui-ci tourna à droite à l’intersection et disparut derrière la maison. Une fumée épaisse noire s’élevait tout doucement dans le ciel à l’endroit où Ghost avait disparut. Ils commencèrent à courir vers l’endroit où la fumée était apparue. Ils coururent au milieu de la route pendant qu’un orage se préparait, ils ne le remarquèrent pas et continuèrent à avancer. À ce moment-là un éclair s’abattit sur l’arbre qui se trouvait sur le trottoir, personne ne fit attention au bruit mais l’arbre commençait à se casser et à tomber sur nos trois personnages. Le bruit se faisait entendre de plus en plus mais il ne réagissaient toujours pas. Ils continuèrent à courir pour aller voir ce qu’il s’était produit là-bas. La chute de l’arbre prenait de la vitesse. Talgya, Shald et sa mère étaient tout proche du point d’impact de l’arbre, celui-ci ne ralentissait pas sa chute. Lorsqu’ils se retrouvèrent juste dessous l’arbre un craquement sourd se fit entendre. Shald tourna la têt vers le trottoir et vit le tronc d’un arbre fissurait. Il leva la tête et vit le reste du tronc qui se trouvait à un mètre au-dessus de leur tête. Shald ne mit pas longtemps à comprendre qu’il devait trouvait un moyen de sauver Talgya et sa mère. Aussitôt il poussa son amie le plus fort possible pour qu’elle ne se retrouve plus en dessous de l’arbre, et fit la même chose pour sauver sa mère. Quant à lui il n’avait plus le temps de s’enfuir. L’arbre frappa violemment le sol et bloqua Shald à terre.
Sa mère et Talgya qui se trouvait à genoux par terre se retournèrent et virent Shald prisonnier de l’arbre. Elles se précipitèrent vers lui. Celui-ci respirait normalement mais u filet de sang sortait de sa bouche, il ne sentait plus ses bras et ses jambes ne répondaien plus. Les deux femmes essayèrent de soulever l’arbre, en vain.

À suivre ….

il est bien ta petite histoire

Merci beaucoup ^^